Sur un petit lot de roches radioactives : 0.2 coups par minute (test sur 21 minutes 44)
Coulée de lave du Dramont à St Raphaël : 0.6 coups par minute (test sur 9 minutes 47)
Sur du sable près d’une zone où l’exploitation de l’uranium avait été envisagée (massif de l’Estérel, projet de mine du Charbonnier) : comptage à 1 coup par minute sur 7 minutes environ, un autre test exactement au même endroit indiquait 0.7 coups par minute sur une durée un peu plus longue. Je déconseille de passer par les ruisseaux à sec et les fonds de vallon qui sont des accumulateurs de radon (et de tritium) pour ceux qui auraient la drôle d’idée d’y aller (je pense qu’il y a un accès par les cimes mais j’ai voulu limiter la marche). Le radon est particulièrement malsain et aucun Geiger ne le détecte vraiment.
Parking du parc de l’Aiguille rue Abel Ballif à Théoule-sur-Mer (secteur particulièrement jaune sur la paroi de roches volcaniques) : 1 coup par minute (sur 11 minutes 16)
Un niveau de radioactivité observé en zone faiblement radioactive : 0.11 coup par minute (test sur 8 h 48 à Valbonne)
Pour mesurer des niveaux faibles de radioactivité une mesure longue est nécessaire, (à cause de la loi de Poisson) mais sur du minerai d’uranium avec l’IRSN j’avais obtenu très rapidement le même nombre de microSieverts par heure que le Radiagem 2000 de Canberra. A noter que jusqu’à 0.6 coups par minute le Smart Geiger affiche 0.10 microSieverts par heure (valeur plancher) ce qui encourage à utiliser la valeur en coups par minute (CPM sur l’appareil) pour les faibles doses de radioactivité.
Je l’expliquais, le seuil minimal de détection des particules mon MKS 05 est à 30 KeV pour les bêtas, ce qui explique qu’il ne détecte pas le tritium (qui émet des particules d’énergie plus faible) et la Criirad confirme aussi que le Radex 1503 ne détecte pas le tritium – son seuil est aussi à 30 KeV. Le Smart Geiger, lui, est capable de détecter le tritium (clic pour lien vers une vidéo où le Smart Geiger détecte avec efficacité du tritium sur une vieille montre) et le thorium naturel.
A noter que le Smart Geiger enregistre parfois des coups lorsque soumis à des vibrations intenses (quand on le heurte notamment), c’est lié à la sensibilité du récepteur aux vibrations (car il faut bien enregistrer les vibrations causées par les tirs particulaires des désintégrations radioactives qui traversent la coque et donc on utilise une sorte de compte-chocs). Le mouvoir avec douceur. Le vent, à lui seul, n’affecte pas le comptage (seuls des chocs rapides ayant un impact).
Se référer donc à mon article sur le tritium gazeux détecté tout autour de Canjuers, avec une augmentation importante des coups par minute (jusqu’à 5046, et je ne suis pas allé dans le secteur que j’avais identifié comme la plus grosse zone de stagnation de gaz il y a deux ans et demi, au nord de Brovès à l’intérieur même du camp militaire) en se rapprochant des zones centrales du camp militaire.
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On a small group of mildly radioactive rocks (total weight under 2 kgs) : 0.2 counted activations of the Geiger per minute (test over a period of 21 minutes 44 secs)
Old lava flow of the Dramont in St Raphaël : 0.6 counted activations of the Geiger per minute (test over a period of 9 minutes 47)
Over sand near a zone where uranium extraction had been planned in the Estérel (mining project of the Charbonnier) : 1 counted activations of the Geiger per minute (test over a period of approx. 7 minutes) and another test lasting a bit longer, exactly in the same location, terminated with an average of 0.7 counted activations of the Geiger per minute. For those who would have the strange idea to visit : please avoid the bottom of valleys, they accumulate radon (from all around) and tritium. Radon is especially naughty and neither the Smart Geiger nor another Geiger will give you an idea of the contamination.
Parking of the parc de l’Aiguille, rue Abel Ballif in Théoule-sur-Mer (in a particularly yellow area of the magmatic rocks in the rock face) : 1 counted activation of the Geiger per minute (over 11 minutes 16 sec)
In a weakly radioactive area : 0.11 counted activations per minute (test over 8 h 48 in Valbonne)
To measure weak levels of radioactivity a long time of measure is needed (because of the Poisson law), but on more radioactive uranium ore, together with the Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, I have obtained very quickly the same number of microSieverts per hour than the Radiagem 2000 of Canberra. Let’s note that up to 0.6 counted activations per minute the Smart Geiger will indicate 0.10 microSieverts per hour (floor level) which incites to use the value in counts per minute (CPM on the app) for weak levels of radioactivity.
As I explained, the minimal threshold for my MKS05 is at 30 KeV for beta particles, which is much above the required detection threshold for tritium (particles emitted with an energy of approx. 5 KeV) and the Criirad also confirms that the Radex 1503 does not detect tritium – it also has a 30 KeV threshold. The Smart Geiger IS able to detect tritium (video proof with tritium watch) and natural thorium.
Let’s underline that the Smart Geiger sometimes records a bit of a sudden increase in “radioactive shocks” when hit suddenly (something like 5 or 15 shocks depending on the strength, because the Smart Geiger is something like a vibration detector for particles crossing the shell), so move the Geiger softly when testing radioactivity and it won’t affect the total count and hence CPM. The wind has of course zero impact in itself (only rapid shocks will impact the counter).
A noter que le Smart Geiger enregistre parfois des coups lorsque soumis à des vibrations intenses (quand on le heurte notamment), c’est lié à la sensibilité du récepteur aux vibrations (car il faut bien enregistrer les vibrations causées par les tirs particulaires causés par les désintégrations radioactives et donc on utilise une sorte de compte-chocs).
Please refer to my article on gaseous tritium detected all around Canjuers, with an important increase of counted activations per minute (up to 5046, and I haven’t been to the area which I knew was the most radioactive in the area, inside the military camp north of Brovès) when coming closer to the military camp.