L’Etat français est coupable de crimes contre l’humanité. L’utilisation d’uranium appauvri (UA) n’est PAS nécessaire pour percer les blindages. Ce sont des micro-charges nucléaires qui font ce travail. L’uranium appauvri a un effet incendiaire mais d’autres alternatives sont évidentes (poudre de fer, zirconium, hydrate de tungstène). La question de la densité est plus que secondaire car un missile plus léger est aussi un missile plus rapide, l’énergie cinétique à l’impact ne change pas. L’uranium appauvri, inhalé ou ingéré sous forme de ces cendres (nanoparticules) diffusées par les explosions dans les vents, est hautement cancérigène, mutagène, tératogène (cause de malformations congénitales), la Commission européenne l’a d’ailleurs récemment reconnu officiellement. Mes courriels à la Commission européenne rendaient bien compte d’une épidémie corroborée par le lien statistique formel haute radioactivité naturelle – hausse des maladies (cancers infantiles, autisme, trisomie 21, schizophrénie – liste complète ici, avec liens internes à mon site vers d’autres pages) dont on observe des taux extrêmes dans les pays bombardés à l’UA. Rien dans les études sur les pesticides ne permet de produire des conclusions aussi éclatantes.

Mais en France le CEA et l’IRSN, mains de l’État, organisent volontairement le silence et le mensonge.
L’uranium appauvri est utilisé par les États-Unis depuis la guerre du Vietnam (les premiers brevets d’armes à UA datant aussi de la fin des années 1960) et la France l’a incorporé dans ses armements au début des années 1980. Les micro-charges nucléaires sont bien sûr antérieures : deux ans après la découverte de la fission nucléaire (par Fermi en 1934) l’Italie et l’Allemagne les utilisaient déjà (article du blog de l’auteur de cette page), et cette technologie a été mise en oeuvre massivement par l’Allemagne en 1939-1940, expliquant la défaite cinglante. Les Alliés, dont la France, ont ensuite plus que rattrapé leur retard, tous les obus puissants des chars d’assaut, charges creuses et autres bombes aéroportées “chauffant à 3000°C” utilisés fonctionnaient ainsi.
Certes, la France n’est pas le premier moteur du carrosse OTAN, mais elle reste un État indépendant parfaitement à même de prendre ses responsabilités et de refuser cette technologie de mort. Elle ne le fait pas, j’ai amplement démontré l’utilisation systématique de l’uranium appauvri dans toutes les armes de guerre conventionnelles. Ce long article en rend compte et donne nombre d’exemples français. L’IRSN a organisé le silence sur les faibles doses, tout comme le CEA. Les autorités ont gardé le silence sur la présence d’uranium dans les nuages des explosions nucléaires (Tchernobyl, Fukushima), sur l’utilisation par l’URSS des mines d’uranium du Goulag comme lieu d’extermination des prisonniers, sur l’origine du ruthénium 106 que j’explique parfaitement avec l’explosion d’un arsenal conventionnel en Ukraine à Kalinovka (il s’agit de ne pas révéler que toutes les armes militaires conventionnels sont de micro charges nucléaires, et donc l’inutilité de l’ajout d’uranium appauvri), elles ont gardé le silence sur les vétérans des guerres (Balkans, Afghanistan) exposés à l’uranium appauvri et font systématiquement appel contre les quelques familles qui se battent encore (exemple avec Alain Acariès, père de Ludovic, décédé d’un lymphome foudroyant quelques années après son service), et refusent d’expliquer que l’utilisation, très dangereuse car ultra explosive, de sodium dans les réacteurs nucléaires sert un objectif militaire : la production de sodium-24, source neutronique très puissante augmentant l’explosivité des armes (toute arme nucléaire a besoin d’une source de neutrons). Elles n’assument pas non plus naturellement les nombreuses victimes autour des camps militaires (pour la France les cas connus sont Canjuers (article contenant d’autres excellents témoignages sur l’utilisation systématique d’uranium appauvri), Moronvilliers, Vaujours, Bourges (article du journal Libération, fait assez exceptionnel concernant un sujet globalement tabou dans les médias), Gramat, mais Captieux dans les Landes et Suippes dans la Marne posent le même problème), sans parler des incendies que l’uranium appauvri des bombes et la large pollution au tritium hautement inflammable comme l’hydrogène amplifient, et bien sûr toutes les victimes “civiles” autour des mines d’uranium à cause des masses de déchets radioactifs répandus dans la nature, et surtout tous ces cancers, maladies héréditaires, malformations qui auraient été évités si la population avait été tenue au courant dès les débuts de la recherche sur les émetteurs alpha et leur dangerosité en interne – la lettre de Frieder Wagner à la fin de cet article déjà cité plus haut en rend compte, ce à quoi il faut rajouter bien sûr les “filles du radium” dans les usines produisant les aiguilles de montres phosphorescentes victimes de cancers dans les années 20 (elles léchaient les pinceaux…) qui ont pour certaines remporté leur procès devant un tribunal de l’Illinois en 1928, les études de la CIA du dossier “Plutonium Files” en 45-47 sur des patients non consentants, injections d’uranium, de radium, de plutonium, la mention dès 1972 du fait que les feux d’uranium présentent un “danger radiologique” et nécessitent un “équipement de protection adapté” (document susmentionné), l’article de 1976 de N. Kochupillai et al dans Nature sur l’augmentation significative de la trisomie 21 en région de forte radioactivité naturelle… La mortalité évidemment plus élevée des travailleurs des mines d’uranium, et même avant cela les cancers à répétition des ouvrières des usines où l’on peignait au radium les aiguilles des montres, le décès même des premiers chercheurs comme Marie Curie, des suites de l’exposition… Le fait de couvrir tout cela, de refuser délibérément d’en informer la population, constitue un homicide volontaire à grande échelle, aux fins, notamment, d’assurer le silence sur la dangerosité de l’uranium appauvri des bombes “conventionnelles” utilisées à des fins racistes au Moyen-Orient (Irak, Afghanistan, Pakistan, Yémen, Syrie, après le Vietnam) là où l’UA n’est pas nécessaire pour l’explosivité et l’effet incendiaire. Il s’agit bien de crimes contre l’humanité dont la France se rend coupable aux côtés des autres membres de l’OTAN engagés dans ces “missions”.
L’agitation permanente sur les pesticides et leur “dangerosité” est délibérée, il s’agit de détourner l’attention du public. L’Agent Orange n’est pas responsable des maladies au Vietnam – c’est l’uranium appauvri qui est en cause. Quand on parle de la radioactivité les autorités laissent entendre que seuls les produits de fission (qui descendent pourtant de l’uranium) sont dangereux, contre les règles les plus fondamentales de la radioprotection. Il s’agit, envers et contre tout, de s’assurer du silence le plus complet sur la dangerosité de l’uranium et des autres nanoparticules émettant des rayons alpha (qui sont aussi présents dans les carburants, les phosphates utilisés comme engrais, le charbon, le gaz naturel, et donc les rejets d’incinérateurs… l’eau du robinet… la viande… (n’en mangez pas ! pensez aux animaux) ). Si on combine tout cela on a l’explication de plus de 99% des cancers, malformations congénitales et maladies héréditaires. Les populations ciblées au Moyen-Orient se radicalisent, rejoignent des mouvements djihadistes, en réaction à l’atrocité des malformations congénitales ? Occasion en or pour bombarder encore plus (et assurer plus de ventes d’armes qui sont évidemment toujours une occasion pour de juteuses rétrocommissions). Cercle sans fin qui permet d’avoir les meilleures raisons du monde de prendre au contribuable de l’argent. De toute façon, derrière les plus grands crimes contre l’humanité, il y a généralement aussi toujours un calcul financier, que ce soient les biens des Juifs lors de la Shoah, la spoliation des koulaks et des Ukrainiens par Staline, l’expropriation des “bourgeois” par les Khmers Rouges, la colonisation du Congo par le roi belge Léopold II, les expropriations lors des génocides arménien, rwandais…
Ma pétition ne suffira pas, il faut faire connaître ce dossier au plus grand nombre, partager massivement cet article, en parler autour de vous. Les plus grands crimes se nourrissent d’abord du silence et de la passivité des témoins. Il est temps de réagir.