[FR plus bas] The main part is the grey “slice” near the tip. It is the compressible piece in highly enriched uranium. It is unalloyed unlike the rest of the weapon (in depleted uranium alloyed with titanium, for instance) because uranium, naturally, is very very ductile and HERE it needs to stay so. The rest is mixed with a few % of titanium which is enough to make it very solid. According to simple calculations even less than one gram of highly enriched uranium is enough to trigger a chain reaction (with high quality explosives) so the uranium may not be of the best enrichment quality.
The way the thing works is exactly like the Little Boy bomb : it’s a “gun design”. It is obvious, why the insert if not for compression ? And we see it physically, it’s ductile, like lead.
We see it very clearly. It may be a simple ring, quite thin, that’s enough. The front piece slides into it and crushes it very rapidly. As explained in the top of the menu bar, this brings atoms much closer and reduces critical mass because neutrons can escape much less easily. You can as well check the Wikipedia article on critical mass, it’s written : increasing density reduces critical mass… For more on the subject download the free ebook. I have more proof for fission included if you ever doubt it still.
Yellow is the most frequent – certainly for U235. And below the top shell (a very old light antitank rocket) shows as well the grey ribbon. It is a shaped charge and the liner could either be entirely of mildly enriched uranium, or simply of natural / depleted uranium with an insert of highly enriched uranium at the point of impact against the target (in the cavity of the cone).
The position of the tip always matches the “ribbon” seen on all NATO bombs. I suggest in the ebook the code is yellow for highly enriched uranium, red for plutonium, black for U233, I think the suggestion still stands.
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La partie principale du dispositif est le ruban gris près de la pointe. C’est la partie compressible en uranium hautement enrichi. SANS alliage contrairement au reste de l’obus (en uranium appauvri allié avec du titane, par exemple) car l’uranium, naturellement, est très ductile et ici il doit le rester ! Le reste de l’uranium (appauvri) est mélangé avec un matériau comme le titane et devient ainsi très résistant. Des calculs simples montrent que moins d’un gramme d’uranium hautement enrichi est suffisant pour déclencher une réaction en chaîne dans de bonnes conditions (explosifs très performants pour la compression). Il se pourrait donc que l’uranium utilisé ne soit pas d’un enrichissement excellent.
C’est exactement le même design de bombe que le modèle de Hiroshima (Little Boy). La chose est évidente, pourquoi avoir cette “insertion” d’un métal ductile au milieu d’une barre que l’on présente comme “ultra solide” (la propagande habituelle explique la pénétration ainsi) autrement que pour être comprimé à l’impact ? Et on voit bien la ductilité, comme pour du plomb. C’est physiquement, visuellement évident.
On le voit très facilement. La pièce antérieure s’enfonce dedans et l’écrase très rapidement. Cela rapproche énormément les atomes d’U235 dans l’anneau, ce qui diminue la probabilté qu’un neutron s’échappe sans causer de fission, et réduit donc la masse critique (information que l’on peut aussi vérifier sur la page en anglais “Critical mass” de Wikipédia, où l’on apprend clairement que “augmenter la densité du matériau fissile réduit la masse critique”, et même dans le “brevet Joliot Curie” de la bombe atomique, tout en bas de la première page). Pour plus d’informations télécharger l’ebook gratuit qui contient d’autres preuves sur la fission (pour ceux qui auraient encore des doutes).
La deuxième photo montre deux obus achetés inertes en surplus militaire, on voit très bien un “tampon” équivalent sur l’obus du haut (petite roquette antichar pour hélicoptère), qui est bien sûr le rebord du “liner” déformable au départ disposé en cône. Il est probablement en uranium enrichi de qualité moyenne ou en uranium non enrichi avec un coeur en uranium hautement enrichi (inséré à l’intérieur, au niveau du point d’impact, au centre de la tête de l’obus).
On voit aussi que l’insert correspond toujours à l’anneau de couleur utilisé systématiquement dans le marquage des bombes OTAN. J’ai proposé dans l’ebook (peut-être uniquement dans la version anglaise rédigée quelques jours après la première version en français) que les rubans jaunes correspondent à l’uranium 235, les rubans rouges au plutonium, et les rubans noirs à l’uranium 233. Je maintiens cette hypothèse.