I have been lucky enough to find, today 16/06/2019, on a beach of French Brittany, a dead dolphin. See my main article on the cetaceans that are among the victims of the Brunswick nuclear accident (and of the other nuclear accidents also caused by hurricanes). I must once again repeat that slushing the waste into the water is nevertheless the most rational way of dealing with the accident (limiting a lot the atmospheric fallout). Especially, the actinide content, dissolved into the water, becomes critical much more easily (explodes underwater), reducing the overall consequences of the accident. Also on the news : “massive amounts of heavy metals found near Cape Fear“… RADIOACTIVE heavy metals of course. Uranium, neptunium, plutonium. The fission products do not matter, really, as concerns the health effects (scientific article, my almost finished draft, see From an Einstein Syndrome to the people for final version).

So I test it with my Gamma Scout alpha-beta-gamma meter. It should first be noted that for alpha radiation which interests me most, the range of particles is very low and the beacon is a bit inside the Geiger – so pressing it into the dead body of the dolphin is not enough to reach all the radioactivity.

Here’s an open Gamma Scout, probe on the far left. So the dolphin presents a few traces of necrosis – radiodermitis -, obviously quite a lot of burned off skin, because it swam in a mix of actinides and water. Background around the dolphin is 0.145 uSv/h. There are a number of holes, including one on the forehead, giving access to the brain. I press the Gamma Scout onto the hole to try to reach the brain, finding an increase in radioactivity. Nevertheless the probe isn’t in contact with the flesh, reducing strongly the possibilities for measuring alpha particles and their short range. So… I have found a way around.

Back at home I simply clean the inside of the Geiger, where some flesh and blood remained (which served no other use in the meantime of course) with a cotton bud (last picture where the background is 0.140 uSv/h – the cotton bud is near it and is brown with the dirt from the dolphin, already showing 0.234 uSv/h – let’s add that I did a lot of tests over ~ 20 minutes onto the dead dolphin, and quite a lot of necrosed blood accumulated inside the Geiger).

Now I put the dirty cotton bud right onto the probe, without compressing it – it is just laid into the Gamma Scout, in contact with the alphameter : 0.424 uSv/h.

More on the health effects of the Brunswick accident here. Hurricanes are naturally attracted by nuclear reactors because the local overpressure caused by the losses of heat (in a nuclear reactor 70% of the thermal output is not converted into electricity) is a natural “equalising tank” for them.

Let’s remind once again that I see no reason to blame Duke Energy, in a planned economy where governments have an interest to speculate on nuclear accidents, on health, by using insider trading and keeping the accident secret. The accident has been carefully managed by WC-135 Constant Phoenix flights this Autumn – it is obviously still managed by US soldiers of the nearby base. An energy company has no real independence, even in a neoliberal country. Why would have deliberately let a nuclear reactor been destroyed ? They knew of course the phenomenon (it happened with lower intensities nuclear accidents in a number of reactors across the southern part of the country over the last years) and had no interest in it. Government officials, esp. the head, on the other hand, have an interest as they have so the ability to speculate safely on e.g. pharma companies selling anticancer drugs. The government can order the company to not shut down the reactor, or it will be faced with new, harsh regulations, a shortage of friendly interest rates, or even expropriation. It’s a basic principle of economic management in “liberal” countries. There is no real economic freedom today (Lipsey Lancaster paradox). UPDATE – see actual proof of insider trading in the pharmaceutical industry before the 2018 hurricane season.

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Je résume pour ceux qui me lisent en français : j’ai trouvé un dauphin échoué aujourd’hui en Bretagne. Le dauphin présente des peaux brûlées et des petites radiodermites. J’utilise mon Gamma Scout, qui mesure à la fois les alpha, bêta et gamma, même s’il a un petit défaut qui est que la sonde est un peu à l’intérieur de l’appareil, réduisant l’efficacité de la mesure des émetteurs alpha – il faut les positionner au contact de la sonde pour faire du bon travail. Rappelez-vous que les particules alpha voyagent sur une distance très courte dans l’air. En pressant mon Geiger ouvert contre le dauphin, j’obtiens néanmoins, en m’enfonçant dans un trou au niveau du cerveau, une augmentation de la radioactivité (jusqu’à 0.174 uSv/h pour un bruit de fond de 0.145 uSv/h environ). Ensuite, en nettoyant simplement soigneusement le Geiger avec un coton-tige, dans une pièce où le bruit de fond est à ce moment-là de 0.140 uSv/h, le coton-tige donne à 5 cm environ 0.234 uSv/h (je précise que j’ai passé beaucoup de temps sur le dauphin, environ 20 minutes, et que pas mal de sang nécrosé s’est accumulé à l’intérieur au fil des tests), et en testant directement, sans appuyer, le coton-tige sur la sonde, comme il convient pour mesurer les émetteurs alpha, en laissant simplement reposer le coton-tige contre la sonde, j’obtiens là un vrai pic, à 0.424 uSv/h).

Des universitaires ont “trouvé de grandes quantités de métaux lourds dans l’eau près du Cap Fear et de Wilmington”… métaux radioactifs bien évidemment. Je précise néanmoins une nouvelle fois que le rejet des actinides dans l’eau reste la manière la plus raisonnable de gérer l’accident pour limiter les retombées sur la population humaine, d’autant que dans l’eau le seuil de criticité est réduit, ce qui augmente le % d’actinides qui fissionne et donc limite au final la quantité totale d’actinides dans l’environnement. Accident qui cause néanmoins des effets épidémiologiques massifs (y compris la mutation récente de diverses bactéries et champignons sur le secteur des retombées).

Rappelons que les réacteurs nucléaires attirent naturellement les cyclones car les pertes d’énergie des centrales (70% de l’énergie thermique n’est pas convertie en électricité) sont un vase d’expansion pour les dépressions. Elles s’épanchent dans ces surpressions locales qui sont donc comme des aimants pour les cyclones.

Je ne vois de plus aucune raison d’accuser Duke Energy, dans ce qui reste une économie planifiée. Le gouvernement contrôle indirectement l’économie, via la régulation des banques qui décident qui obtient les taux les plus favorables, via toutes les normes, par exemple, et il a intérêt à un accident nucléaire secret pour pouvoir spéculer (en achetant des call warrants par exemple) sur les compagnies pharmaceutiques qui vendent des médicaments anticancer (notamment). Une compagnie (qui ne pouvait ignorer le phénomène, du fait d’accidents antérieurs de moindre intensité dans le sud des Etats Unis sur de nombreux réacteurs, dans les années passées) n’a au contraire aucun intérêt à un accident… mais peut recevoir un ordre catégorique, qui est de maintenir le réacteur en fonction en dépit de l’arrivée prochaine du cyclone, sinon quoi elle sera victime de nouvelles normes oppressives, n’aura plus de crédits à taux avantageux (via les pressions sur les banques), ou même expropriée. C’est un principe de base du pilotage économique en régime prétendument libéral. La liberté économique n’existe pas (paradoxe de Lipsey-Lancaster). UPDATE – preuve de délits d’initiés dans le domaine de l’industrie pharmaceutique peu avant la saison des cyclones 2018.