Les effets épidémiologiques visibles de Canjuers et du site de largage de GBUs des Landes – grâce à une carte de l’Atlas des cancers 1970 – 2004 (et mes commentaires d’économiste néoclassique)

Bonjour,

J‘ai retrouvé des données statistiques de l‘Atlas des cancers 1970 – 2004, les vraies données intéressantes.

pollution aérienne france

j‘avais il y a longtemps utilisé une partie inadaptée de ces données croyant que les retombées se manifestaient dans les AM – c’était le résidu statistique (bon alors il y a une frange des retombées qui va vers nous, notamment les sommets de collines, je rappelle que ça pousse jusqu‘à St Barnabé où j‘ai senti des nanoparticules d‘U238 à faible dose, niveau „pollution de petite rue de village“ dans la nature – et que ça remonte aussi jusque Soleilhas et le sentier des fossiles siréniens, on observe le même principe, ce sont les sommets de collines – ensuite plus au nord dans le Haut Verdon après un intermède propre, on voit à partir de Thorame sur les flancs des vallées les effets du panache du Germanwings).

Ci dessus sur cette carte des “effets liés à la taille de la population” on voit très très clairement le spin de la Terre produisant des retombées larges de Canjuers vers l‘ouest (cf évaluation via l’état des arbres, et mon ressenti grave sur Ampus, Salernes) qui causent une surchauffe de long terme des cancers sur la région jusqu‘au nord d‘Aix. Ceci est logique compte tenu de la géographie du lieu, en „pente douce“ vers l‘ouest logiquement.

Portée longue. Il faut que les nanoparticules refroidissent donc elles franchissent une grande distance.

Je pense que tout le monde peut voir que raisonnablement cette carte manifeste grosso modo l‘effet de la pollution aérienne.

Les cancers sont naturellement élevés en Auvergne – penser aussi à la région de Valenciennes, sans parler de la Bretagne et de la Corse du Sud – tout cela se voit très bien : niveaux stables, aucune progression récente…

On voit a contrario toute la région rhodanienne par exemple, la Seine St Denis où la population est particulièrement concentrée et peu de parcs ; on ne voit pas les effets de Vaujours (ceci se manifeste par l‘absence en symétrie des effets du site de Moronvilliers, le point rouge sur le 93 tient bien aux effets de la forte concentration de population, faibles espaces naturels). Vaujours a fermé avant le début de cette série statistique.

Il y a un effet clair lié au site d‘entrainement de l‘aviation des Landes (où l‘armée de l‘air s‘entraîne au largage de GBUs). Région où le point orange foncé n‘a rien à voir avec la normale comme pour le nord d‘Aix.

On perçoit un effet du site de Sauclières au nord de Montpellier (donc je suggère éventuellement un retour des nuages vers le sud-ouest après leur sortie du goulet de la vallée, après St Hyppolite, mais je n‘ai pas inspecté la région physiquement) mais il y a aussi la pollution urbaine plus diffuse. J’avais utilisé des données locales de l’administration pour montrer la pollution de Sauclières qui se vérifie via l’état de la végétation, qui se régénère néanmoins progressivement le site ayant fermé il y a une vingtaine d’années (des nanoparticules d’U238 continuent d’y circuler).

Une des raisons pour lesquelles les régions à forte radioactivité naturelle ont une faible pollution est naturellement les charges positives du sol qui repoussent la radioactivité – les nuages passent, transitent mais ne s‘accumulent pas trop, le vent les chasse rapidement. Pour l‘Auvergne les handicaps naturels bien connus trouvent donc bien sûr des compensations naturelles (je pense intéressant de le faire remarquer et surtout de souligner que comme toujours cela tient à une loi physique fondamentale, les charges positives se repoussent entre elles) ; je réfère à mes estimations initiales dans Alpha emitting nanoparticulates, the forgotten pollutant, on retrouve la même logique.

Je signale sinon le passage du nuage de nanoparticules du Taal il y a quelques jours, petite radioactivité supplémentaire. Particules à consistance minérale, radioactivité alpha faible mais palpable, nature géologique des particules évidentes (je l‘ai senti dans ma circulation sanguine).

Nuages accompagnés de produits de fission qui émettent en beta moins et donc forment un effet d‘agglomération, passage par „vagues“ (visible dans le ciel) et j‘ai le sentiment que les PF sont aussi retombés, naturellement avec quelques jours de latence puisque la masse atomique est bien plus légère, les électrons s‘accumulant sur les voitures, drainant les nanoparticules émettrices alpha avec le flux de voitures, après un pic de radioactivité alpha légèrement ressenti j‘ai noté une décrue très évidente.

Le volcan „fait son propre ménage“ en quelque sorte ! 🙂

Bonne journée.

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