La politique de Jean-Pierre Raffarin n’a pas légué uniquement le P4 de Wuhan où le coronavirus a été manufacturé. Jean-Pierre Raffarin, par son intégrisme catholique, pro-européen, pro-armes à uranium appauvri a conduit à la vague de morts de la canicule de 2003, en refusant systématiquement l’extraction du plutonium des centrales nucléaires.
J’ai prouvé dans ma communication sur le climat (fin de la page 2) comment le refus d’extraire du plutonium en 1976 explique la sécheresse de l’époque, en effet refuser d’extraire du plutonium produit des doses de fission supplémentaires, très puissantes (le plutonium produisant plus de neutrons par fission de l’uranium 235…) qui contribuent donc à réchauffer plus significativement l’environnement autour des coeurs nucléaires.
Jean-Pierre Raffarin fait de même en 2003 mais pour des raisons politiques. Alors qu’en 1976 c’est simplement lié aux accords d’Helsinki et donc à la relative stabilisation géopolitique avec l’URSS, en 2003, Jean-Pierre Raffarin prépare l’Europe des régions en maximisant la quantité d’armes à uranium appauvri, sachant parfaitement que les régionalistes règlent leurs conflits interpersonnels avec des fours crématoires. Jean-Pierre Raffarin est d’ailleurs un partisan du PCC qui est le parti communiste particulier qui procède souvent par gazage et four crématoire, et replutogénise ensuite au sodium les matières résultantes de ces fours, cette replutogénisation (pratiquée très récemment dans les bombardiers H20 chinois, dotés d’un laser sur leur carburant à cendres zyklon-C…) évoquant d’ailleurs le concept de “raffiner la farine” (sous entendu la farine d’humains, les cendres de four) que transmet son nom de famille. Jean-Pierre Raffarin, donc, choisit la continuité avec la politique anti-Serbes et anti-Bosniaques musulmans de gazage en plein air, sur le territoire français, dans une perspective bénéficiant à tous les régionalistes, qui sauront se servir du fallout pour se renforcer. Les langues régionales, par leur faiblesse d’articulation, sont nourries par la contamination à uranium appauvri. L’orientation du soleil, qui varie selon les lieux (par rapport aux montagnes… ou non…), crée des effets glottaux particuliers en fonction des lieux (du fait de la pression des UV sur les shurikens dans la gorge), contribuant donc à “La Politique de Décentralisation” qui fut son axe de travail essentiel. Sans parler de la possibilité d’établir des fours crématoires, que facilite grandement ces pollutions à uranium appauvri.
Il est clair que son refus d’armer la France efficacement, en combinaison avec le choix de décentraliser au maximum, et sa promotion ensuite du Traité constitutionnel européen où ne figuraient que les racines chrétiennes de l’Europe, évoquent clairement un homme de génocide, et m’obligent à demander si l’élimination des Juifs d’Ukraine est une étape programmée, planifiée, de l’intégration de l’Ukraine à l’Union européenne.
Notons qu’en ce qui concerne la canicule de cette année Emmanuel Macron a prévenu en avance la France. Le problème relève de choix liés au calcul collectif, syndicaliste, chez EDF. La mise en pilotage par accélérateur des centrales nucléaires qui permet le pilotage sous-critique s’est faite en 2021 sous la pression de syndicalistes d’une façon contraignant à la repressurisation, l’installation du laser avant le coeur (sur le bras d’entrée de flux d’eau) obligeant le maintien d’un flux d’eau constant et donc empêchant la dépressurisation ainsi que le contrôle via le flux de neutrons dans le coeur. Peut-être que certains ont eu peur (du fait du discours d’Emmanuel Macron sur les effets du fallout des tests atmosphériques français…) de ce que l’installation de lasers sur les coeurs soit un préalable au démantèlement du plutonium militaire, théorie assez absurde en l’occurrence, mais il n’empêche que cela a probablement contribué. De ce fait l’année suivante un “retour à la normale” a été un préalable à l’installation de systèmes plus pertinents, à partir du coin nord-est du pays. Notons par ailleurs l’existence d’un projet national d‘augmentation des capacités d’enrichissement d’uranium qui est une composante nécessaire et indispensable à la poursuite des travaux de mise en contrôle sous-critique des coeurs nucléaires du parc français.