Les retombées de sables du Sahara sont riches en uranium appauvri datant du conflit en Libye en 2011

Des voix se sont élevées contre la composition chimique étrange des sables du Sahara retombés ces derniers jours sur l’Europe de l’Ouest. Ces sables contiennent en réalité (la source le confirmant est du CEA, via un responsable bien placé) de l’uranium appauvri, confirmant ce que j’ai pu observer via le site Earth.nullschool.net qui reproduit des données satellitaires, le mode DUEx en format particulate matter permet d’observer l’uranium appauvri (DU) expulsé dans l’atmosphère grâce à sa forme shuriken.

Des groupes militants islamiques associés à des ingénieurs algériens se sont coalisés, à l’aide de matériels nucléaires nouvelle génération fournis par des agents iraniens, pour soulever de l’uranium appauvri en provenance des frappes sur la Libye en 2011. La production d’antigravitons par certains réacteurs nucléaires s’autocomprimant permet d’attirer des particules de même nature que ce qui est contenu dans le réacteur, donc un réacteur comprimant des barreaux d’uranium appauvri peut soulever l’uranium appauvri du sol. Cette technologie, à l’aide de condensateurs fermioniques, a été utilisée pour nettoyer les vallées des Alpes du sud de l’uranium appauvri de Canjuers et du Germanwings (je n’en ai pas rendu compte photographiquement pour protéger les condensateurs fermioniques du vol).

Les réacteurs nucléaires au sodium qui sont le “flagship iranien”, représentés sur le drapeau du régime théocratique, sont utilisés pour nettoyer le sol localement de l’ uranium appauvri en alimentant un aimant tout en le plutogénisant rapidement afin de lancer une contre-attaque, cette technologie produit quelques antigravitons modestes, mais il semblerait que les révolutionnaires se soient équipés de condensateurs fermioniques vu la quantité d’uranium appauvri soulevée. Je n’observe aucune activité le vendredi matin, ce qui me conduit à pointer du doigt des militants islamiques et l’Iran dans cette logique, étant donné que c’est le pays le plus équipé en la matière nucléaire et habitué à fournir ce type d’aide à l’étranger.

Ici on observe l’activité à antigravitons au niveau du curseur vert rond, elle a soulevé un gros nuage d’uranium appauvri au nord

Ces militants se sont associés avec des Algériens équipés eux je pense de plusieurs coeurs au sodium de type iranien, qui ont été activés en simultané pour faire flotter la poussière d’uranium appauvri de base en base, produisant comme une chaîne.

Au niveau de mon curseur, et en diagonale autour

L’activité a été a priori coordonnée avec la météo pour tirer parti d’un système dépressionnaire dans l’Atlantique afin de continuer à tirer les poussières mais sans l’aide d’antigravitons. Pas de trace de navire russe dans le secteur d’après les informations, c’est vrai néanmoins qu’on n’est pas à l’abri d’un sous-marin russe équipé d’un condensateur fermionique d’autant que la forme du système dépressionnaire rappelle la structure interne d’un condensateur fermionique. Ma source sûre semble d’ailleurs être favorable à l’hypothèse du condensateur fermionique dans un sous-marin russe.

Le nuage contenant des sables du Sahara riches en uranium appauvri peut donc se déployer et arroser le continent ouest-européen à partir de là. Ce mode de fonctionnement consistant à “empoisonner les empoisonneurs” de façon aveugle et sans préoccupation pour l’environnement ne peut que rappeler les méthodes iraniennes et de certains généraux russes qui “tirent dans le tas” en Ukraine. Cette opération a le mérite de donner une petite idée des énormes masses d’uranium appauvri qui ont été utilisées dans un conflit comme la Libye, où pourtant les augmentations observées sur les DALYs de l’OMS n’étaient que de +35 à +50% (à comparer avec les chiffres pour les autres pays dans From an Einstein Syndrome to the People, lire ici et mon PubMed). Mais le protocole choisi est absurde et cruel, par ailleurs l’empoisonnement à uranium appauvri a des effets neurologiques importants qui rendent ultérieurement la compréhension plus difficile, j’en ai parlé dans mon PubMed par exemple et dans pas mal d’autres articles peer-reviewés, si l’on veut que la cible comprenne les effets de l’uranium appauvri, l’empoisonner avec est la plus mauvaise des idées !

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