Un retchlag français dans l’Allier ? La nouvelle mine de lithium souterraine dans l’Allier, nouvelle plaie “écologique”

Je remercie la Commission nationale du débat public qui m’a invité suite à mon commentaire sous l’un de leurs posts Facebook à participer au débat public. J’ai ce faisant découvert qu’il s’agissait d’un projet de mine souterraine. Dans la région la plus radioactive de France, l’uranium effleure le lithium dans les sols et les sou-sols sont encore plus radioactifs. En URSS, on exterminait les dissidents par usage des mines d’uranium d’extermination (retchlags), et nombre d’entre eux étaient souterrains.

Il me semble que l’Etat planifie selon la loi du talion et envisage les communistes de l’Allier comme un public potentiel pour les emplois en question, souhaitant leur infliger une sorte de retchlagisation salariée en leur proposant ces emplois dans des conditions non totalement différentes de celles des camps d’extermination soviétique. Les mines de lithium néanmoins ne servent à rien car comme je l’explique dans mes articles scientifiques c’est la chaleur humaine et les téphras volcaniques qui sont la cause du réchauffement climatique, le CO2 n’est pas en cause et les voitures électriques réchauffent le climat car la photosynthèse est endothermique càd qu’elle absorbe la chaleur en même temps que le CO2, d’où la confusion. Mais j’ai voulu frapper un grand coup, choqué par l’émergence possible d’un équivalent de retchlag français (rappelons que France Travail peut imposer le retour à un emploi non désiré sous peine de suspension des allocations…) et j’ai évoqué dans ma lettre à la CNDP non seulement la menace d’une plainte devant la Cour européenne (la mine ne me semble pas conforme aux exigences de droit européen, selon la directive Habitats des critères de bien être humain peuvent aussi être pris en compte) mais la possibilité d’un tir de missile d’un pays pétrolier sur la mine. Dans une logique où l’écologie anti CO2 viole l’intégrité des nations en imposant son diktat fondé sur de la science douteuse et que le camp a des propriétés similaires à celles d’un camp d’extermination soviétique (sans parler des quelques mines souterraines d’uranium nazies où 200 000 prisonniers de guerre français et soviétiques ont été assassinés), le territoire visé est-il encore français ? J’espère que je ne serai pas inquiété. Pour des raisons d’honnêteté intellectuelle et par loyauté au débat public j’ai souhaité exposer immédiatement ma dernière carte à la CNDP pour qu’elle fasse son travail et reconnaisse in fine la dangerosité de la mine et son intérêt nul. Je suis en effet partisan de la transparence. Ces mines de lithium (tout comme l’autre projet en Bretagne occidentale) sont des projets inacceptables. Même si c’est pour y faire mourir les communistes par leurs propres péchés, les conséquences environnementales sont trop grandes pour jouer avec ça. Les mines causent des pertes d’effluents dans la nature et, lors du transport en camion non bâché comme cela se fait usuellement, des retombées dans les jardins des maisons près des routes. Ces problèmes ont causé la fermeture des mines d’uranium en France en 1980. Pourtant les mines de lithium reconstituent ce problème. Il faut faire barrage à ces mines dangereuses pour l’environnement et la santé humaine. J’espère que son message sera compris dans sa signification. Les mines causent des pollutions pour des générations. Il ne faut pas jouer avec le feu.

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